Salle de défilé / Manhattan - Regret et retrouvaille - 27 Octobre 2020

Viktor marche parmi les invités, Charlotte la PDG de Mirum a invité la crème de la crème de la mode pour présenter sa nouvelle collection. Cela fait environ 2 ans que Viktor n'avais pas remis les pieds a New York, il redoutait se moment, sa patronne l'avais persuadé que ni les autorités ni les FZ ne lui tomberais dessus mais pour tout dire c'est un autre élément qu'il redoute, un élément qui risque fortement d’être présent a ce défilé. Il est très mitigé, a la fois il désire la revoir mais en même temps il craint un peux la tournure de leurs retrouvaille, il sais pas de quoi il a le plus peur, de sa colère ou du fait qu'elle l'est oublié.
Viktor secout la tête. "Voila que tu redevient aussi fleur bleu qu'un adolescent d'une de ses séries débiles."
Le silence se fait progressivement dans la salle et les lumière s’éteigne pour laissez place aux spots qui éclaire la scène ou commence a défilé les top modèle de la marque.
Finalement il semble que Galatea ne soit pas venu. Contrairement a ce qu'il aurais pensé il ne ressent pas de soulagement mais au contraire une sorte de déception. Mais c'est aux moment ou il c'est résigner qu'elle entre dans la salle, aussi belle que la première fois qu'il l'avais vu sur la scène de Crossroads il y a 2 ans.
Comme un réflexe il se positionne dans un coin sombre ou il peux voir toute la salle sans être vu, mais son regard d'ordinaire aiguisé et alerte est braquer sur une seule cible se soir, un tank pourrais entrés qu'il ne le remarquerais même pas.

Elle avait hésité à sortir ce soir, mais ne serait-ce qu'à cause de sa profession, elle se devait d'être présente. Paré d'une réplique d'une des robes les plus sulfureuse de Céline Dion - Oui, rien que ça - lui donnant des allures de déesse grecque, elle "entre dans l'arène".

Tapis rouge, strass, flash, acclamation... Elle en avait maintenant l'habitude, même celui de tous ces hommes, qui disons-le crument, donnerai beaucoup pour passer une nuit avec elle. Pourtant, parmi tous ces regards, ces parfums, eau de toilettes, fragrance : il était là.

Tous ces yeux braquer sur elle, mais il n'y en avait qu'un, qu'elle cherchait à éviter. Oui, à peine arriver, en marchant, elle l'avait senti. Tantôt il sur une personne, tantôt sur une autre. Particulièrement sur "une autre" : Charlotte MOREAU.

Elle l'avait remarquer, en train de l'épier, en se cachant dans un des seules rares coin sombres. Compliquer, de jouer les ninjas dans l'ombre, avec tous ces jeux de lumières. Elle, elle en profite. Elle feint de s'éclipser, afin de lui susurrer très lentement à l'oreille :

Galatea ses lèvres à peine à 5 cm de l'oreille de Viktor : Donne-moi, une seule, bonne raison, de ne pas te dénoncer, maintenant. Tu as, 3 secondes - elle rapproche ses lèvres, à peine à 1 cm du creux de l'oreille - Une... Deux...

Viktor ressent deux sentiment contradictoire, la joie de revoir Galatea mais aussi la peur, pas la peur de mourir non ça il s'en fiche un peux de toute façons il ne lui reste que 3 à 4 ans tout au plus. Non il a peur pour les autres, qui sais ce qu'il pourrais arriver a Charlotte si les FZ apprenais qu'elle l'a couvert?

Viktor se calme et reprend le contrôle de son corps pour effacer toute trace de ses émotions.

Viktor : Vous seriez responsable de la mort de plusieurs personnes si vous faite ça Miss Walker. J'ai eu quelque problème de famille voyez vous. Le genre de problème qui vous met une bande de super mercenaire assoiffer de sang sur le dos. Certaine familles sont très complexe, vous en savez quelque chose non?

Il tourne son visage en direction de la magnifique jeune femme et lui souris, mais son sourire ne vas pas jusqu’à ses yeux qui reste froid et dénué d'émotion.

"Vous seriez responsable de la mort de plusieurs personnes si vous faite ça Miss Walker." Voilà la première chose, qu'il lui répond. Pas de "Pardon, j'aurai dû vous prévenir", "Je suis désolé", ou même de "Je suis ravi de vous revoir", ou... Non. Qui plus est, elle l'avait tutoyer, et lui vouvoyer. Normal, quand on ne connaît pas une personne. Qu'on ne l'a finalement, jamais rréellement connu.

"Vous seriez responsable de la mort de plusieurs personnes si vous faite ça Miss Walker." Il n y a pas à dire, il savait parler aux femmes. Elle resta surprise, voir estomaquer un moment. Et cette froideur.

Elle le lui avait dit, à leur première rencontre "officielle" : "Mon père, avait pour habitude de me dire, que la connaissance était un des grands pouvoirs de ce monde - elle soupir à se souvenir, qu'elle complète avec - avant de me traiter de petite sotte naïve et romantique." Oui, en regardant le visage froid et souriant de "Grégor", elle entendait la voix de son père, le lui répété encore et encore "petite sotte naïve et romantique".

Elle aurait bien voulu répondre à la suite. Elle aurait bien voulu, mais elle se posait encore la question, de à quoi elle s'attendait, en l'accostant. Une larme perla alors sur sa joue, le cœur serrer, elle finit par répondre à "Certaine familles sont très complexe, vous en savez quelque chose non ?" :

Galatea quelques peu déboussolé : "Oui. Oui, je sais ce que c'est... Jack, ou Grégor, ou qui que vous soyez aujourd'hui - dit-elle plus incisive -D'ailleurs, je vous prie d'excuser, mon manque de savoir vivre. On, on ne tutoie, que les gens, que l'on connaît, réellement, n'est-ce pas ? - continua-t-elle avec un sourire forcer - alors... Alors, je vais... Vous laissez."

Il fallait qu'elle parte, qu'elle parte maintenant ! Il ne fallait pas qu'elle craque, non, pas devant lui...

Viktor serre le poing et continue a avoir l'air aussi inébranlable que possible. Galatea est forte, mais les FZ ne sont pas a prendre a la légère et si ils découvre que Grégor tien a elle, ils auront tôt fait de s'en prendre a elle, d'autant plus que c'est une CHP et pour ses enfoirés de FZ cela ne sera qu'une pierre 2 coups. Il n'a jamais eux peur de mourir, mais pour la toute première fois il a envie de mourir.

Viktor est sincèrement impressionné que Galatea est découvert sa véritable identité. Mais blessé a la fois par son ton accusateur. La suite est comme si Galatea lui plantait des couteau dans le cœur mais il n'en montre rien, continuant a se répéter que c'est mieux ainsi pour tenter d'y croire.

Quand elle lui dit qu'elle s'en va il sens ses résolutions avoir du mal a tenir, son cœur s'emballe, ce n'est pas réellement de la peur même si il y a un peux de ça, c'est un cocktail de peur et de tristesse.

Viktor : Très... Sa voix vient de dérailler a cause de ses émotions, il se racle la gorge et continue avec difficulté. Très bien mademoiselle... P-passer une bonne soirée.

C'est la première fois qu'il a autant de mal a se contrôler, son corps est certes de plus en plus fatiguer mais il c'est toujours parfaitement contrôler. Et malgré qu'il lui est dit au revoir il ne parvient pas a bouger continuant de regarder Galatea avec des yeux dont la froideur on laisser place a la douleur.

C'est tout ? Oui, c'était tout. Pourtant, à ce moment précis, quand il lui répond, elle le regarde au fond des yeux. Son masque. Ce masque, que beaucoup arbore dans ce type de situation. Celui de l'indifférence. Même lui, ne croit pas à la comédie, qu'il est en train de lui jouer.

Elle continu de le regarder droit dans les yeux. Comme-ci elle voulait le percer, percer ce fameux masque. Pourquoi ? Elle le savait, mais elle voulait l'entendre de sa bouche. Pourquoi il ne lui en a pas parler ? "petite sotte naïve et romantique" il se connaissait à peine, non ! Pas du tout !

Après un moment, elle finit par déceler de nouveau les lèvres :

Galatea : "Qu'essai-tu, encore, de cacher ? - Oui, vouvoiement, poubelle... - tu jouais mieux la comédie, la dernière fois - elle s'avance de nouveau vers lui - ici, et maintenant - elle dégluti, alors qu'une larme perle jusqu'à la commissure de ses lèvres - je dois être, la seule, à te connaître. Réellement - son émotion, de plus en plus perceptible - Gré-Grégor. Comme ton père. - Elle pose lentement sa main droite, sur la poitrine gauche de "Viktor", ou lui souriant avec tout autant d'émotion, d'espérance - Ce devait être, un homme bien, pour que tu reprenne son prénom - Elle fait remonter sa main, jusque son épaule, en se rapprochant de nouveau. Ne quittant pas le regard de celui-ci - Toi aussi, tu es un homme bien. Tu... Tu aurai pu, me tuer, en tant que FZ. On aurait pu, te demander, de te servir de moi, pour atteindre mon père - son visage est alors, à moins de 15 cm de celui de "Viktor", sa main ayant remonter, jusqu'à la joue de celui-ci. 15 cm, tous juste ce qui les sépare en taille - Grégor... S'il te plait. Je t'en prie - prête à craquer, elle continu tout de même. sa voix tremblotante - A-arrête, de te cacher, et... Et D-dis moi... Ose, me dire, en face... Que, que tu ne ressent, absolument rien, pour moi.

La question était, à quel réponse s'attendait-elle ? Si elle avait bien une certitude, c'est qu'elle serait bientôt, définitivement fixer. Une de ces réponses, la détruirai certainement, mais elle était déterminer à en avoir le cœur net. Même si celui-ci, risquait d'être réduit en poussière. Pour la énième fois.

Viktor desserre le poing il abandonne la comédie cela ne sert plus a rien il est trop fatiguer et malade pour continuer a faire semblant.

Vicktor : J'essaie de caché un tas de chose a un tas de personne... Dont moi même je pense... Les sentiments... J'ai toujours appris a les refoulé et non a les exprimer, ou seulement dans le but de manipuler... Tu est l'une des rares personnes avec qui je peux être vrai. Je crois que ça me fait peur de me sentir aussi vulnérable face a toi...

Ses yeux son ceux d'un homme se retenant de pleurer.

Viktor : J'ai peur de tant de chose. Plus ma fin se rapproche plus j'ai peur. Peur d'abandonner ceux que j'aime. Je ressent de plus en plus de sentiment c'est... terrifiant tout ses paramètre que je ne peux contrôler. J'ai trop forcer... Je suis allez trop loin... Mon père était un homme génial du moins c'est ce dont je me souvient de lui. Moi je suis juste un monstre qui tente de fuir ce qu'il est vraiment. Je tient a toi. Et c'est justement pour ça que je ne peux pas être avec toi. Je suis une calamité vivante tout les gens que j'aime finisse par souffrir ou mourir. Je ne veux pas que tu vive ça. Tu mérite mieux.

Il s’écarte avec difficulté de la belle louve. Il n'est pas parvenu a se contrôler et ses larmes coule, maudit corps qui ne lui obéit plus. Le S.E.B.M l'a détruit il se sent tellement fatiguer maintenant.

Au fur à et  mesure qu'il parlait, la louve sentait quelques chose, d'intense. Tellement intense. C'est la première fois, qu'un homme auquel elle tenait, semblait être aussi... "Authentique" ? Vrai ? Avec elle. Pour elle.

Cette espérance qu'elle nourrissait, croissait maintenant, par le biais des paroles de Grégor "Tu est l'une des rares personnes avec qui je peux être vrai. Je crois que ça me fait peur de me sentir aussi vulnérable face a toi..." était juste, les plus beau mots qu'on lui ait adresser.

Lui aussi, état au bord des larmes, comme elle ! Certainement, qu'il ressentait quelques chose pour elle ! Mais quoi ? Oserait elle espérer, que ce soit, enfin lui ? Celui qui se dérobait toujours à ses yeux, et semblait toujours lui glisser entre les doigts ? l'amour ?

"J'ai trop forcer... Je suis allez trop loin..." que voulait il dire par là ? "Moi je suis juste un monstre qui tente de fuir ce qu'il est vraiment" ils n'étaient pas si différent, elle aussi fuyait. Elle fuyait intérieurement, ce qu'elle était devenu un temps. Ce qui surveillait, la moindre occasion, dans un coin sombre de son esprit, de son cœur, pour surgir comme une bête sanguinaire...

"Je tient a toi" il avait fini par l'avouer, clairement, nettement. Ce qui était venu ensuite, qu'elle importance ! Alors que c'est à son tour de s'éloigner d'elle, elle le rattrape presque instinctivement par son bras :

Galatea : "Grégor ! A-attends, c-comment sait tu, que je mérite mieux ? Est-ce que, ce n'est pas à moi d'en décider ? - Elle le rapproche d'elle - Tu dis tenir à moi, alors pourrais-tu me respecter assez, pour me laisser le choix ? Tu crois être le seul, à avoir des cadavres dans son placards ? - Même si elle n'a jamais vraiment tuer personne... Sauf Nastasia, au port, en la battant à mort dans un accès de rage - T-tu crois être, le seul, à se considérer comme un monstre. - Elle retient d'une main, et tourne son visage vers elle de l'autre - Regarde moi ! T-tous le monde, voient... Ils voient, une jolie... Chose. Du maquillage, des vêtements, un parfum... Mais, personne ne voit le monstre, qui sommeil en moi, à cause de mon père, d'Aronn, de Karl et... De tous les autres. - Une larme perle de nouveau sur sa joue, mais elle lui sourit - moi, je pense que, qu'entre monstre, on serait bien ensemble. JE veux, essayer. Je...

Elle se tut un moment, alors que son regard d'argent, est plonger dans le sien. Quelques personnes, sont déjà en train de les épier, depuis un petit moment. Peu importe, elle rapproche lentement le visage de Grégor vers le sien, sans perdre un instant le contact visuel :

Galatea : "J-je... Je n'te, laisserai plus... T'éloigner de moi."

Sa phrase à peine terminer, elle pose ses lèvres fraîches et rosés, brillant comme des étoiles, sur celle de Grégor.

Viktor est mis a nu, ses émotions qu'il était capable de cacher avec une maîtrise de soit exceptionnelle on tout détruit sur leurs passage, ses résolutions d’éloigner Galatea pour la protéger même sa propre protection vient en second plan, laisser une star comme Galatea l'embrasser n'est pas la chose la plus discrète qui soit surtout dans le milieux ou ils se trouve. Lui qui avais pris soin d’être' invisible risquai fort d’être exposer et le pire c'est qu'il s'enfiche totalement a ce moment la seul le plaisir que ce baiser lui procure. Seul sa proximité avec Galatea est importante, tout le reste est secondaire et superflus. Mais malheureusement il faut bien revenir a la réalité.

Viktor la repousse légèrement, a contrecœur.

Viktor : Parlons en priver.

Il sort son téléphone et tape un petit message a Charlotte.

-"Chose a faire. Concerne Gregor."

Viktor : Vient suis moi.

Viktor l'emmène a l’écart, jusqu'au bureau de Charlotte. Viktor sort une clef de sa poche et déverrouille la porte avant d'entrer avec Galatea et refermer derrière eux.

Viktor : On ne sera pas gêner ici. Bon... Galatea je t'aime. C'est un fait indéniable. Mais je suis aussi une cible ambulante et un porteur de malheur. Ma sœur veux me tuer, ma mère est morte par ma faute et j'ai rendue au moins une petite fille orpheline. Et la liste ne s’arrête pas la. Tu a beau te définir de "monstre" mais croit moi sur ce point tu est un véritable ange. Tu a surement fait des erreurs et des choses dont tu n'est pas fier mais je pense pas que tu est accumuler les erreurs comme moi. Ah et j'ai garder le meilleur pour la fin. Même si on ne me tue pas je finirais par mourir dans les 2-3 ans. J'ai trop forcer et mon corps ne suit plus...

Dit il assis sur le bureau de Charlotte les yeux fixant le sol.

Quand Grégor interrompit leur baiser, elle eût un court moment de malaise. Allait-il la rejeter ? "Parlons en priver" effectivement, ils n'avaient à ce moment prècis, que très peu d'intimité. Après un, sms ?... Il lui demande le suivre, ce qu'elle fait sans discuter.

Grégor l'emmène vers une porte, dont il possède la clé, intriguant. Ce qui le devient beaucoup moins, quand elle observe la pièce en question : un bureau, le bureau de Charlotte MOREAU, PDG de Mirum.

Pourtant, une phrase de Grégor, interrompt son observation : "Galatea je t'aime". C'est la première fois, mis à part sa petite sœur, que quelqu'un lui adressait ses mots. Qui plus est, quelqu'un pour qui elle a de fort sentiment. Ce qui la rends toute, chose. Tout à fait surprise, d'entendre subitement, et si rapidement ses mots, si doux, si puissant, si revigorant, si vivifiant, pourtant...

"je suis aussi une cible ambulante et un porteur de malheur. Ma sœur veux me tuer, ma mère est morte par ma faute et j'ai rendue au moins une petite fille orpheline. Et la liste ne s’arrête pas la." c'était comme-ci, il essayait de s'éloigner d'elle, en lui citant une suite de fait, qu'elle connaissait en fait déjà.

Après qu'il ait fini de parler, elle se rapproche de lui. Alors qu'il est assis sur le bureau, elle se met entre ses jambes, et passe les bras de Grégor autour de sa taille de guêpe, et regarde le regarde de nouveau dans les yeux. Un regard, plein de détermination, de passion, d'amour :

Galatea : "J-je te sauverai ! Je trouverai, un moyen ! En-en fait - elle baisse la tête - je, je sais peut-être, déjà, comment faire - elle relève la tête, avec encore plus de détermination - et toute ta litanie, je la connais déjà ! Une fois encore, tu te cache derrière elle ! Mais si tu m'aime - elle prends son visage dans ses mains - bats-toi ! Bats-toi pour moi, bats-toi, pour nous - dit-elle avec passions - N-nous nous sommes, tous les deux, laisser manipuler, comme de vulgaire marionnette. Je... Je sais, que tu es devenu, celui que tu as été, à contre cœur. Cela, à cause du père d'Océane. Elle, elle devra d'abord m'abattre, si elle veut t'avoir ! Et non, ce n'est pas de ta faute, si ta mère est morte ! Ce n'est pas toi qui l'a tuer, tu m'entends ? J-Jack... - Elle lui sourit - Si tu étais véritablement, le monstre que tu dis être. Tu n'aurai fais aucun cas, de Diana. Et... Crois-moi - elle baisse de nouveau la tête, presque honteuse -je, je n'suis pas un ange. Et... - Des larmes coulent de nouveau - J-je souhaite, de tout mon cœur, que... Que tu n'vois, jamais, cette... Autre moi. - Elle revient à lui, le visage débordant d'émotion - J-Jack, m-moi aussi... J-je... Je t'aime.

Suite à cette déclaration, elle l'embrasse alors plus franchement, voir même passionnément. Les yeux toujours clos, les lèvres à peine déceler de "son homme", elle lui révèle, presque en murmurant :

Galatea : Je, je crois, que, je suis tomber amoureuse de toi, le soir même, de cette fameuse Saint-Valentin. J'ai - elle glousse - tant, espérer, que tu tente quelques chose, pour m'aborder, et... - Elle le regarde profondément, dans les yeux - Et tu l'as fais.

Elle l'embrasse alors de nouveau, en serrant contre lui.

Les mots de Galatea ne le surprenne pas vraiment, enfin sauf le fait quelle connaisse déjà un moyen pour le sauver ça il s'y attendais pas. Et on peux pas dire qu'il saute de joie quand la louve lui annonce que si Océane voulais sa peaux elle devra commencer par la tuer, voir les deux femmes qui compte le plus dans sa vie s'entre tuer n'est pas vraiment le rêve de Viktor, il faudra vraiment qu'il s’attelle a s'expliquer avec Océane, en espérant y survivre. Il allais continuer a parler, répliquer un autre truc stupide que Galatea saurais surement pour essayer de se cacher encore une fois, c'est a prêt tout le seul truc qu'il sais faire ses dernier temps, fuir et se caché quand elle balaie tout ses argument avant même qu'ils est franchis ses lèvres, et cela en scélérat ses même lèvre avec un baisé et a ce moment la tout devient secondaire, Viktor, lui rend son baisé tout en la soulevant pour l’asseoir sur le bureau de Charlotte, et tout en l'embrassant il commence a la dévêtir, la passion ardente qu'il tentait d’étouffer a pris le dessus consumant tout le reste ne laissant que le désirs le plus pur et le plus primaire. Et il partagea son désir avec Galatea, tout les deux seuls dans cette pièces ils s’unir.

Déjà qu'elle n'était pas vraiment, très couverte, la voilà dans son plus simple appareils. Enfin, avec l'homme qu'elle aime, se s'offrant à lui avec passion. En fait, elle n'a pas souvenir, d'avoir eût une telle osmose avec quelqu'un, de genre moment si "personnel".

Un moment, intense, qui aurait pu continuer longtemps...

...Si après que la porte du bureau n'est exploser, la pièce ne fut remplit de fumigène et de gaz anesthésiant.

On entendit de multiples pas lourds, étouffer mais coordonnées, alors qu'ils étaient accompagné de bruit d'aiguillons électriques.

Galatea : GREG...

Moins de 2 minutes. Moins de 2 minutes, pour changer un moment de partage passionnel, en cauchemar fataliste. Moins de 2 minutes, pour enlever la louve aux yeux d'argents, et laisser son âme-sœur sur le carreau...